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L'interview « Portrait Croisé » de Juliette Tauvel
Découvrez les salariés de l’association qui vous accompagnent au quotidien !

31 août 2022 Portrait
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Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir l’interview « Portrait Croisé » de Juliette Tauvel. Nouvellement arrivée à l’association ECAM Alumni début juillet 2022, nous sommes ravis de l’accueillir pour prendre le relais du travail d’Axel Vautrin qui nous quitte en octobre. Avec cette mini-série de deux portraits, entre parcours et personnalité, levez le voile sur les salariés de l’association qui vous accompagnent au quotidien !

 

Une interview menée par Axel Vautrin, Assistant de gestion et Chargé de Communication pour ECAM Alumni.

"Il est nécessaire d'étayer son réseau au fil des rencontres, des expériences et du quotidien. Comparable à une fourmilière, chacun a son rôle à jouer et c’est en faisant de l’esprit de groupe une force, que sa puissance en est démultiplié !

Axel : Bonjour Juliette, pourrais-tu te présenter en quelques mots ?

 

Juliette : Je m’appelle Juliette et j’ai 23 ans. Pour rentrer dans les détails, je suis née à Strasbourg et j’ai grandi à Lyon. Je me qualifierai de « très imaginative », ce qui m’est utile dans le cadre de mes créations, aussi bien artistiques que graphiques. Disons que j’aime bien dessiner mes propres contours ! Pour cela, chaque communauté m’inspire : j’aime apprendre en partageant mon quotidien avec des gens inspirants.

A : Peux-tu nous dire comment tu es arrivée à l’Association ECAM Alumni ?

 

J : Après ma dernière expérience, j’ai cherché un emploi plus proche de mes convictions personnelles. En me renseignant sur l’APEC, j’ai vu l’annonce du cabinet de recrutement d’Etienne Pezzoli (ECAM 2005 AML) à qui l’association avait confié le recrutement. L’annonce m’a énormément intéressée, d’autant que je connaissais l’ECAM de réputation. J’ai pris contact avec lui et nous avons échangé rapidement. Le premier entretien a été très décisif : je me suis vite rendu compte que c’était là que je voulais aller. En effet, je l’ai trouvé très passionné et attaché à l’association. Par la suite, j’ai rencontré les dirigeants de l’association qui ont approfondi leurs besoins et m’ont expliqué l’esprit de l’association. J’avoue m’être très vite reconnue dans les valeurs « Lassallienne » qu’ils m’ont présentées.

Quand ils ont repris contact avec moi pour me dire que j’étais retenue, j’étais très contente et j’avais hâte de prendre mes quartiers !

A : Quel sera ton rôle dans l’Association ?

 

J : Je vais être en responsabilité sur toute la partie communication et évènementiel. Mon objectif est vraiment d’animer le réseau, d’exploiter le potentiel de cohésion et de fédérer les Alumni  autour de valeurs communes.

L’idée est de créer un lien entre futur diplômé et les diplômés ingénieurs.eures et mastères: il s’agit finalement d’assurer la continuité des valeurs de l’ECAM.

A : Raconte-nous ton parcours et ce qui fait que tu es une valeur ajoutée pour l’association ?

 

J : Diplômée de Lettre Arts et Langues, j’ai voulu, dans un premier temps devenir enseignante : la pédagogie et le lien de transmission sont des valeurs qui m’inspirent. J’ai finalement décidé de l’exploiter à plus grande échelle en poursuivant mes études à l’IAE de Lyon en Communication Multimédia. Tout en faisant une alternance dans une pépinière d’entreprises, je voulais pouvoir ajouter à mes compétences rédactionnelles, un savoir-faire en graphisme et en stratégie de communication. L’idée était de rendre chaque production plus performante de sorte à parler au plus grand nombre.

 

     A la Pépinière de Valpré, mon rôle était d’animer et de renforcer les liens du réseau Intra et Inter pépinières, en partenariat avec les différents acteurs de l’entrepreneuriat. De par cette expérience, les missions et les défis de l’association sont venus ranimer mes ambitions premières, à savoir contribuer au renforcement et au rayonnement du Réseau des Ingénieurs ECAM de Lyon et Strasbourg.

 

    L’univers de l’entrepreneuriat m’a beaucoup appris ; autant sur les relations à développer que sur les challenges et les outils pour y faire face. Pendant mes études, j’ai rédigé mon mémoire sur l’impact de la communication digitale dans le cadre d’un lancement d’activité, aussi je pense pouvoir répondre aux défis du réseau ECAM, d’aujourd’hui et demain.

A : Quelle est ta vision de l’association aujourd’hui, sachant que tu nous as rejoint depuis un mois ?

 

J : Pour moi, il y a un véritable potentiel à développer : il s’agit de répondre aux ambitions et besoins de chaque membre dans leur intergenerationalité, tout en venant consolider les liens existants. Le réseau ECAM Alumni représente aussi bien les promotions de 1963 tout comme il incarne aussi les promotions sortantes. C’est dans cet esprit de diversité que je construis mes projets, de sorte à incarner les valeurs de l’Amicale recherchées par certains mais aussi le prisme du réseau au service de la carrière, recherché par d’autres.

A : Pour toi, le réseau, c’est quoi ?

 

J : Pour faire le lien avec ce que je disais précédemment, le réseau représente un univers à développer et à construire tout au long de sa vie. C’est cet ami qui nous est précieux quand on a besoin de lui, et qui nous guide quand le besoin s’en fait ressentir. A mes yeux, il est nécessaire de l’étayer au fil des rencontres, des expériences et du quotidien. Comparable à une fourmilière, chacun a son rôle à jouer et c’est en faisant de l’esprit de groupe une force, que sa puissance en est démultipliée !

A : Pour sortir des interviews classiques, parle nous de toi : qui es-tu réellement « Juliette » ?

 

J : Juliette, c’est cette personne qui aime apprendre tout en se dépassant (rires). Plus sérieusement, je dirai que j’ai ce besoin d’être stimulée, à la fois pour ne pas m’ennuyer et pour avoir le sentiment d’avancer. Tout ça s’exprime de plusieurs manières ; il va s’agir autant de regarder un documentaire sur le fonctionnement des champignons que de se rendre à un vernissage dans le fin fond de Lyon, dans un drôle de café ! Je crois que j’aime bien explorer toutes les personnes que je pourrais être ! Mais de manière plus approfondie, je fais beaucoup d’art comme de la sculpture ou de la peinture, tout dépend de l’humeur. Je dirai surtout que j’aime me lancer des défis et partager mon quotidien avec des personnes riches en expériences.

 

A : Ton film préféré ?

 

J : Sans hésitation, je te répondrai « Big Fish » ! C’est le film qui sollicite le plus mon imagination et qui met autant en valeur l’intérêt de ne pas se fier aux apparences. Je le recommande à tout le monde !

 

A : Est-ce que tu as un mantra qui t’anime au quotidien ?

 

J : Oui, bien sûr : il me vient de mon père qui m’a toujours répété d’être fier de soi. Qu’importe les circonstances, il faut garder la tête haute et assumer la personne que l’on est et ce, sans plier face à l'adversité.

A : Et au milieu de tout ça, quels sont tes défauts ? 

 

J : S’il en croit ma réponse précédente, je n’en ai pas … (rires) Je plaisante, mais je dirai que je suis assez entière. J’ai beaucoup de mal avec les faux-semblants, ce qui me vaut une certaine sincérité qui, parfois, je ne le cache pas, peut bousculer certains !

 

A : Si tu pouvais dîner avec une personnalité au choix, qui choisirais tu ?

 

J : Je crois que je choisirais Simone de Beauvoir pour l’affranchissement et la liberté d’expression qu’elle a offerte aux femmes. C’est avant tout, une avant-gardiste qui explique les inégalités entre les sexes par la construction historique et qui, de ce fait, encourage les femmes à reprendre possession de leur destin. Aujourd’hui, le paysage professionnel est plus diversifié, notamment dans l’univers de l’ingénierie, grâce à ce genre d’intervention !

 

A : Que dirais-tu pour conclure cet échange ?

 

J : J’aimerais inviter chacun qui le désire, à venir nous rencontrer à l’association : nous sommes en haut du campus d'ECAM LaSalle Lyon au 22 montée Nicolas de Lange 69005 Lyon ! Je suis impatiente de construire des projets ou de collaborer avec chaque personne qui en aura le besoin et ce qu’importe l’âge ou la promotion : il n’y a pas de mauvaises intentions à vouloir développer son réseau.

Retrouvez cet article dans l'Echo Du Web

en édition papier très prochainement !




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